Skip to content

Ivry et Le Plessis-Robinson : le développement des constructions

Depuis la fin de la Seconde Guerre Mondiale, la banlieue sud de Paris est en pleine essor industriel. Les constructions suivent ce développement.

Par exemple, Ivry-sur-Seine, qui subit, en 1943 et 1944, de lourds bombardements, s’est reconstruite. Le 29 avril 1945, Georges Marrane, horloger, déjà élu avant la Guerre, devient maire jusqu’en 1965. Ministre de la Santé publique et de la Population en 1947, sénateur de 1946 à 1968, député de 1956 à 1958, il travaille avec Maurice Thorez, député de la circonscription, il engage une politique poursuivie par Jacques Laloë, qui lui succède en 1965. Ce maire mobilise pour le maintien du potentiel industriel et le développement du centre-ville va profondément se modifier avec la mise en œuvre de nouveaux plans de rénovation.

Autre exemple : Le Plessis-Robinson. La seconde guerre mondiale apporte au Plessis-Robinson son lot de drames, et, après un court mandat du docteur Bailly, président du Comité local de la Résistance, le communiste Robert Levol (1909-1989) est élu. Il restera maire jusqu’en 1972. C’est le temps de la reconstruction, les derniers champs du plateau se couvrent de grands ensembles HLM.

La population double en vingt ans, des groupes scolaires très nombreux se construisent : Joliot-Curie, Henri-Wallon, François-Peatrik, etc.

Mais les fameuses guinguettes ferment les unes après les autres, la ville redoute une crise économique. Robert Gelly est élu maire en 1972, et, après un isolement relatif par rapport aux autres municipalités des Hauts de Seine, Le Plessis-Robinson va se transformer à partir de 1989, sous l’impulsion de Philippe Penezec : création d’un Cœur de Ville, reconstruction de la Cité-jardins, valorisation des espaces verts et fleuris, revitalisation économique. Elle est élue commune la mieux fleurie d’Europe (2005) !

Les Maçons Parisiens en banlieue sud

Dans ce contexte, Les Maçons Parisiens ont été sollicités pour la construction, à Ivry, en entreprise générale, d’un ensemble immobilier de 61 logements collectifs. Le projet comprend cinq bâtiments (rez-de-chaussée à R+7) sur moitié niveau de sous-sol et vide sanitaire. Le maître d’ouvrage est l’OPH d’Ivry-sur-Seine, l’architecte est Tectone.

Au Plessis-Robinson, Les Maçons Parisiens viennent d’être désignés pour construire une opération de 432 logements collectifs.

 

Ce projet est composé de neuf bâtiments de six étages sur deux niveaux de sous-sol.

Les bâtiments sont implantés dans parc paysager comprenant un bassin d’agrément (Maître d’ouvrage : Prim’arte, architecte : Supd’Ad).

Pas de commentaire pour le moment.


Ajouter un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *