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Les Maçons Parisiens et l’UCIAB au Burkina Faso

Depuis plusieurs années, Les Maçons Parisiens participent au développement économique et social des régions et pays les plus pauvres par des engagements de soutien humanitaire, notamment auprès des Coopératives de l’Union des Coopératives Industrielles et Artisanales du Burkina Faso, l’UCIAB. La politique de soutien humanitaire des Maçons Parisiens est axée sur des initiatives économiques et des activités de solidarité.

Les Maçons Parisiens et le soutien humanitaire

Le soutien humanitaire est sans conteste l’un des outils les mieux adaptés mis à la disposition des entreprises afin de leur permettre d’agir sur le terrain pour le bien commun. Dans un pays pauvre où la perspective d’obtenir un emploi est aléatoire, l’accès à l’éducation difficile et l’environnement naturel austère, le développement d’entreprises coopératives de production et de services constitue une solution qui s’appuie sur les traditions de solidarité et permet de réelles perspectives de pérennisation.

L’Union des Coopératives Industrielles et Artisanales du Burkina Faso rassemble plus de 60 entreprises dont des Coopératives comme Les Maçons Parisiens et la COTRAPAL, membres actifs de l’Union des Coopératives Industrielles et Artisanales du Burkina Faso (UCIAB) qui rassemble des entreprises de tailles variées et apporte différents services : formation, gestion, ouverture vers les marchés extérieurs.

L’Union des Coopératives Industrielles et Artisanales du Burkina Faso (UCIAB)

Le Burkina Faso est l’un des dix pays les moins développés du monde. Ce pays d’Afrique de l’Ouest nécessite la coopération d’acteurs extérieurs, notamment des Coopératives pour développer l’activité économique. Réunissant 150 femmes issues de trois groupements de quartier de la ville de Bobo-Dioulasso, au Burkina Faso, la coopérative COTRAPAL qui fait partie au même titre que Les Maçons Parisiens à l’UCIAB a pour activité la transformation de fruits et légumes, principalement le séchage et le pressage des mangues, abondantes sur place. Elle produit aussi d’autres fruits, légumes et condiments séchés et de la confiture. Les femmes font tous les travaux, les décisions se prennent en assemblée générale sur le mode coopératif « une personne = une voix », l’échelle des salaires est de 1 à 2 selon l’ancienneté, l’entreprise appartient en totalité aux femmes qui y travaillent.

Au bout de dix ans, le volume d’activité est relativement stabilisé, beaucoup des difficultés initiales ont trouvé des solutions (emballage et transport des produits vers la capitale) et la clientèle majoritairement étrangère est fidèle, que ce soit l’ONG suisse Caro ou la centrale d’achats « Solidarmonde ».

Photo Flickr Nyhao
Photo Flickr Abrispuri

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